Cette histoire est pour Noël (et je sais qu’il ne me reste qu’un mois !).
Au début de l’histoire/du jeu…Aimée : Je ne suis ni riche, ni sage, ni ange. Mais je veux bien lui donner quelque chose.
Térence : Essaie de lui donner ton cœur.
Aimée : Lui donner… mon cœur ? Cette chose remplie de rage et de tristesse---
Térence : Donne-le-lui. Il le soignera.
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Et à la fin de l’histoire/du jeu – là, je crois que c’est déjà Noël. Aimée et ses compagnons retrouvent un pauvre enfant dans la rue, sans domicile, sans famille. Aimée a envie de l’adopter et lui donner un cadeau.Aimée : Oh, le pauvre ! Je veux lui donner une vie complète. Et un cadeau pour cette fête. Mais… (Elle regarde ses poches) je n’ai rien…
Térence : Je te le disais. Si t’as pas de cadeaux, tout ce qui vient de ton cœur suffirait.
Sybil : Le battement de ton cœur. Écoute-le.
Aimée : (Elle regarde sa poitrine… ou plutôt, son cœur.) Mon cœur… (Elle regarde le garçon.) Puis-je faire de---
Garçon : Oui, allez-y.
Aimée s’assoit et fait de son tambour. Le thème de fin sera joué (j’ai besoin d’en écrire un !).Aimée : Ça… ça vient du cœur. Ce n’est pas---
Sylvain : Je crois que t’es un peu trop sévère avec toi-même, Aimée.
Garçon : Merci. C’est le meilleur cadeau que j’avais reçu.Sylvain : Comment ?Garçon : J’étais une fois garçon au tambour. Et j’étais heureux surtout parce que j’avais quelqu’un à m’écouter. Au fait, une famille à m’écouter. Tout ça, j’ai perdu. Mais vous m’avez redonné l’espoir. Je ressens la gentillesse. Et je veux vous suivre. Au fond, je trouve l’espoir. C’est un magnifique cadeau.
Aimée : (Elle prend le garçon dans ses mains.) Je suis comme toi. J’ai perdu ma famille. Étoile est le seul survivant. Mais enfin, je veux te donner une vie.
Sybil : Bravo, Aimée. Je sais je mentionne une fois encore le nom de la compagnie, mais bravo. Je suis fière de toi.
Aimée : Merci. Ça vient du plus profond du cœur.
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