J’en ai marre des journaux.
Depuis peu, j’ouvre une copie du journal le matin, et je saute toujours les premières pages. Celles avec des reportages sur la situation politique et les évènements principaux.
Je commence à me demander… les journaux prennent-ils quel point de vue ?
Souvent, il n’y a pas d’équilibre entre les partis politiques en Malaisie. D’après ce qu’on raconte chaque jour, c’est évident. On glorifie l’un et critique l’autre. On se dispute l’un l’autre. Mais maintenant je m’en fiche. Auparavant, chaque fois j’ouvrai les journaux (surtout les premières pages) je me sentis plutôt… déprimée. Il n’y a plus de bonnes nouvelles pour nous. On parle du changement et cela nous donne un peu d’espoir. Toutefois… nous, les Malaisiens, nous ne voyons presque pas de changement. Où est notre raison de célébrer ? Où se trouve-t-il un politicien qui dit la vérité ? Partout on peut lire des reportages des pauvres fous ignares, écrits par…… des pauvres fous ignares ! On entend des mensonges partout et on ne sait plus qui croire.
Des images de la souffrance de l’humble Malaisien sont gravées dans mon esprit. Dans mon cœur.
Dans les mots d’Axelle Red, « sans la politique, elles seraient effacées depuis longtemps ».
Moi, je ferai mieux si je ne lis pas les journaux. Honnêtement.
Depuis peu, j’ouvre une copie du journal le matin, et je saute toujours les premières pages. Celles avec des reportages sur la situation politique et les évènements principaux.
Je commence à me demander… les journaux prennent-ils quel point de vue ?
Souvent, il n’y a pas d’équilibre entre les partis politiques en Malaisie. D’après ce qu’on raconte chaque jour, c’est évident. On glorifie l’un et critique l’autre. On se dispute l’un l’autre. Mais maintenant je m’en fiche. Auparavant, chaque fois j’ouvrai les journaux (surtout les premières pages) je me sentis plutôt… déprimée. Il n’y a plus de bonnes nouvelles pour nous. On parle du changement et cela nous donne un peu d’espoir. Toutefois… nous, les Malaisiens, nous ne voyons presque pas de changement. Où est notre raison de célébrer ? Où se trouve-t-il un politicien qui dit la vérité ? Partout on peut lire des reportages des pauvres fous ignares, écrits par…… des pauvres fous ignares ! On entend des mensonges partout et on ne sait plus qui croire.
Des images de la souffrance de l’humble Malaisien sont gravées dans mon esprit. Dans mon cœur.
Dans les mots d’Axelle Red, « sans la politique, elles seraient effacées depuis longtemps ».
Moi, je ferai mieux si je ne lis pas les journaux. Honnêtement.
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