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Je crois

2009/01/22
Alors j’ai loupé le bal d’étudiants hier.

Et je parie que tu t’es bien amusée avec les autres là-bas. Je regrette que je n’aie pas pu y aller, parce que j’avais déjà des plans pour le week-end. Et pire, j’étais seule à la maison.

Tu étais en scène, tu chantais encore. Je dois admettre que j’aurais aimé le faire, même si je n’y pouvais rien. La scène était à toi. C’était un moment à chérir.

Oui, la scène est toujours à toi.

Un jour, elle sera À MOI ! Et personne ne coupera plus l’herbe sous mes pieds. J’en suis confiante.

On était une fois proche. Tu m’aidais avec des entraînements de voix, je t’aidais avec les études. On s’est assis ensemble. J’admets que j’ai mes faiblesses. Mais avec l’espoir de garder cette amitié à nous, je n’ai rien révélé. Et j’avais toujours voulu te dire que je t’adorais et je te respectais.

Mais plus maintenant. Aujourd’hui j’ai trouvé la lumière après une année et demie de supplice.

Je me souviens de la souffrance émotionnelle tant que j’étais au cours d’affaires avec toi. Je me souviens de tes habitudes superficielles. Je me souviens de la moindre remarque. Je me souviens de tout. Et pourtant, je les laisse tomber, parce que c’est inutile d’en parler.

Ça me brisera le cœur, tu sais ? Surtout que je n’en ai pas. Car dans tes yeux, je suis immorale. Ou amorale. J’y comprends plus rien.

Je dois te remercier pour l’aide, pour tout ce que tu m’as appris. Je vais toujours m’en souvenir. Mais espérer de redevenir proche avec toi, c’est la mer à boire. Mon cœur était une fois alourdi de ces chaînes. Maintenant, non plus. Je sais ce que tu faisais de moi tout au long de ma sixième, et ben, pour me défaire, tu peux toujours te servir de toutes les mauvaises descriptions que toi et tes amis ont fabriquées à propos de moi. Je t’aidais ; voici ce que je reçois.

Je te souhaite le meilleur, et je t’avoue que je ne veux pas te restreindre d’atteindre ce que tu veux. Toutefois, je sais que je vais te surprendre.

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