Vingt push-ups ce matin comme punition parce que les GARÇONS n’ont pas participé dans les exercices du matin.
Les garçons ne cessent pas de tirer des ennuis. Et nous, les commandantes, sommes punies. La commandante des filles éprouve la pire des punitions, pour absolument rien. Puis immédiatement après mon supplice, quelqu’un venant de ma compagnie me demande de manière très rude, « Qu’est-ce qui s’est passé ? Tu étais sacrément méchante, je vois ! » Appelez-moi sensible, mais vraiment, qui ne serait pas enragé ?
Je n’aime surtout pas si j’ai des messages venant de mes enseignants et l’on me coupe le sifflet. S’ils ne m’entendent pas, s’ils n’entendent pas les voix des enseignants, ils vont tirer des ennuis et c’est NOUS qui devons en payer le prix. Je suis désolée si j’ai offensé des autres avec mes mots, mais quand ça concerne la discipline, je DOIS être stricte. Toi, Jésus, tu es le témoin de mon supplice, et tu peux sûrement voir les fautes en moi, celles que je ne voies pas. S’il te plaît, avant tout, pardonne-moi et pardonne ceux qui m’ont offensée.
Personne ne doit me voir pleurer. La commandante doit être, ou au moins, paraître forte lorsqu’elle est avec ses subordonnés. Ça va à tel point que je ne peux plus contrôler mes larmes. Jésus, je te prie, du fond de mon cœur, pardonne-moi et aide-moi. Je ne suis pas un bon leader… ou au moins, je ne me vois pas en tant que leader. Mais je voudrais essayer. C’est ici où je peux faire mes preuves. Je ne peux pas marcher en pas, ni satisfaire tout le monde. Peut-être j’attends trop de mes subordonnés. Peut-être je suis trop dure. Mais tout ce que je veux, c’est unir mes subordonnés, et voir la victoire des Braves. Est-ce trop ? =( Maintenant, je crois que même les cieux pleurent avec moi – parce qu’il pleuvait quatre fois aujourd’hui, et tout le temps, il tombe des hallebardes. Les cieux, parlez à ma place !!
Les garçons ne cessent pas de tirer des ennuis. Et nous, les commandantes, sommes punies. La commandante des filles éprouve la pire des punitions, pour absolument rien. Puis immédiatement après mon supplice, quelqu’un venant de ma compagnie me demande de manière très rude, « Qu’est-ce qui s’est passé ? Tu étais sacrément méchante, je vois ! » Appelez-moi sensible, mais vraiment, qui ne serait pas enragé ?
Je n’aime surtout pas si j’ai des messages venant de mes enseignants et l’on me coupe le sifflet. S’ils ne m’entendent pas, s’ils n’entendent pas les voix des enseignants, ils vont tirer des ennuis et c’est NOUS qui devons en payer le prix. Je suis désolée si j’ai offensé des autres avec mes mots, mais quand ça concerne la discipline, je DOIS être stricte. Toi, Jésus, tu es le témoin de mon supplice, et tu peux sûrement voir les fautes en moi, celles que je ne voies pas. S’il te plaît, avant tout, pardonne-moi et pardonne ceux qui m’ont offensée.
Personne ne doit me voir pleurer. La commandante doit être, ou au moins, paraître forte lorsqu’elle est avec ses subordonnés. Ça va à tel point que je ne peux plus contrôler mes larmes. Jésus, je te prie, du fond de mon cœur, pardonne-moi et aide-moi. Je ne suis pas un bon leader… ou au moins, je ne me vois pas en tant que leader. Mais je voudrais essayer. C’est ici où je peux faire mes preuves. Je ne peux pas marcher en pas, ni satisfaire tout le monde. Peut-être j’attends trop de mes subordonnés. Peut-être je suis trop dure. Mais tout ce que je veux, c’est unir mes subordonnés, et voir la victoire des Braves. Est-ce trop ? =( Maintenant, je crois que même les cieux pleurent avec moi – parce qu’il pleuvait quatre fois aujourd’hui, et tout le temps, il tombe des hallebardes. Les cieux, parlez à ma place !!

0 comments:
Post a Comment