Vous savez… je suis triste.
Je suis sensible, bien sûr, mais c’est parce que je veux le meilleur effort de chaque apprenti. Je souhaite unir mes amis, joindre nos forces vers la victoire. Mais il paraît que je suis la cause de la désunion des Braves. Que dois-je faire ? Ne rien faire ? Ça sera le néant total pour nous…
J’ai un pressentiment que le meilleur apprenti sera Ariff. La meilleure apprentie sera Aida. Où se trouve-t-il ma place ? Au moins Dyane et Aida me comprennent. J’essaie d’introduire des changements pour ma compagnie mais s’ils n’acceptent pas, ils m’attristent. En fin de compte, je commence à penser que c’est ma faute. S’ils l’acceptent, je n’entends même pas de mots de remerciement. Et j’ai dit à mon père et Rin que mes amis – surtout les Braves – sont des anges. Je les regarde en tant qu’anges. Je ne trouve pas la moindre trace de respect. Et je ne sais pas ce que les enseignants pensent à moi.
J’ai rêvé d’être toujours dans les cœurs des gens, de faire quelque chose de beau, quelque chose d’immense. Mais je crains être vite oubliée. À la maison, c’est moi qui remercie les autres. Pourtant, l’on ne me remercie pas si je fais quelque chose hors de mes obligations pour aider la famille.
Je ne sais plus rien. Est-ce que je vais finir en beauté ? J’ai envie de mettre un terme à ma maudite vie une fois encore. Seigneur, je te prie, aide-moi !
Peut-être je n’aurais pas dû être susceptible à la moindre remarque.
C’est moi qui avais écrit le contrat qui unit les Braves au début du Service National. Ainsi on doit se souvenir que le nom « Bravo » est synonyme de « brave ». On ne doit pas être timide. C’est contre l’essence de notre compagnie, et même notre nom !
Je suis sensible, bien sûr, mais c’est parce que je veux le meilleur effort de chaque apprenti. Je souhaite unir mes amis, joindre nos forces vers la victoire. Mais il paraît que je suis la cause de la désunion des Braves. Que dois-je faire ? Ne rien faire ? Ça sera le néant total pour nous…
J’ai un pressentiment que le meilleur apprenti sera Ariff. La meilleure apprentie sera Aida. Où se trouve-t-il ma place ? Au moins Dyane et Aida me comprennent. J’essaie d’introduire des changements pour ma compagnie mais s’ils n’acceptent pas, ils m’attristent. En fin de compte, je commence à penser que c’est ma faute. S’ils l’acceptent, je n’entends même pas de mots de remerciement. Et j’ai dit à mon père et Rin que mes amis – surtout les Braves – sont des anges. Je les regarde en tant qu’anges. Je ne trouve pas la moindre trace de respect. Et je ne sais pas ce que les enseignants pensent à moi.
J’ai rêvé d’être toujours dans les cœurs des gens, de faire quelque chose de beau, quelque chose d’immense. Mais je crains être vite oubliée. À la maison, c’est moi qui remercie les autres. Pourtant, l’on ne me remercie pas si je fais quelque chose hors de mes obligations pour aider la famille.
Je ne sais plus rien. Est-ce que je vais finir en beauté ? J’ai envie de mettre un terme à ma maudite vie une fois encore. Seigneur, je te prie, aide-moi !
Peut-être je n’aurais pas dû être susceptible à la moindre remarque.
C’est moi qui avais écrit le contrat qui unit les Braves au début du Service National. Ainsi on doit se souvenir que le nom « Bravo » est synonyme de « brave ». On ne doit pas être timide. C’est contre l’essence de notre compagnie, et même notre nom !

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