Image prise de Kingdom Hearts, « Another Side, Another Story… » © Square, Disney, 2002
- Ce monde a été connecté.
- Relié aux Ténèbres.
- Il sera bientôt anéanti.
- Il y a tellement à apprendre.
- Et toi, tu ne comprends rien.
- Un effort inutile.
- Quelqu’un qui ne sait rien ne peut rien comprendre.
Xehanort (sous le nom d’Ansem), Kingdom Hearts
Voici un autre épisode de l’histoire de notre héroïne, Aimée Duchemin. Cette fois, Aimée devient inspiré par ce que dit un personnage dans le jeu Kingdom Hearts, qui s'appelle Xehanort. Elle et sa meilleure amie parlent de la fin de l’histoire du monde. J’ai écrit cet épisode en rappelant les moments où j’ai été avec des amies proches, et nous avons parlé des choses que nous ne pouvions pas comprendre. Et comme le dernier article, je n’ai pas pu le mettre en essai. Ici je vais introduire quelques autres personnages originaux :
Sybil Françaix – 19 ans. Son véritable nom est Sybil Françaix, mais il y a quelques années, elle a dû poser en tant qu'un garçon pour protéger son identité. À cause de sa guise, tout le monde l’appelle Étienne ; mais pour Aimée Duchemin, sa meilleure amie s’appelle toujours Sybil Françaix.
Derrière sa physique, sa voix base et ses cheveux courts, il y a une fille avec un cœur d’or. Elle est raisonnable et moins impulsive que sa copine Aimée (mais évidemment, n’importe qui est moins impulsif qu’Aimée !).
La famille Montparnasse – On ne sait presque rien des Montparnasse, sauf qu’ils sont les pires ennemis des Duchemin. D’après Aimée, ils sont responsables pour le massacre chez elle, où sa famille a été tuée.
Bon, voici le produit de mes pensées (et désolée si Aimée et Sybil doivent tourner autour du pot pour expliquer certaines choses) :
« Ce monde a été connecté. Relié aux Ténèbres. »
- Ce qu’il vient de dire, ça me donne une chair de poule !- Je sais. Bon, dans quelques moments je dois me battre contre Xehanort… Non. C’est Sora qui doit se battre.
- Si vite ? T’es déjà arrivée à la fin du jeu ?- Ouais. T’avais pas remarqué ?- Non, je pensais que t’étais encore à l’Ile du Destin, comme l’autrefois. Et puis t’as passé largement de temps à t’y entraîner !- La fin du monde et l’Ile du Destin sont semblables, en tout cas. Dis, Sybil, tu remarques pas que Xehanort a un peu de sens commun ?
- Hein ? Comment ? Cet espèce dégénéré avec des armes aussi déglinguées que ce que mon grand-père m’a données ?
- JE NE PARLE PAS de son alliance avec les Ténèbres, je parle plutôt de ses mots. Ses phrases. « Ce monde a été connecté, » blablabla…
- Ha… Bonjour la philosophie ! T’as quelque chose à partager avec moi, c’est ça ?
- Oui, évidemment.
- Si tu parles de ses phrases, bah oui, il a un peu de sens commun. S’il parle de l’humanité en général, on doit l’applaudir. Mais là il parle de Sora !
- Parlons pas de Sora ; nous savons déjà que ce monde est relié aux Ténèbres.
- D’où vient notre liaison avec les Ténèbres, même si ce n’est pas évident ?- De nos péchés, sûrement. Dans ce monde, grâce à nos actions, les définitions de « bien » et « mal » sont déformées ; nous ne savons pas ce que nous devons faire, et très souvent, nous sommes influencés par le monde. Il y a des gens qui travaillent avec une seule intention : être célèbre. Il y a des gens qui déclarent des guerres pour unir le peuple, sachant que les guerres peuvent nous désunir ! Il y a ceux qui tuent au nom de leur famille, de leur communauté, de leur religion. Et il y a aussi ceux qui cachent des mauvaises intentions derrière leurs bonnes actions. ‘Fait, nous avons besoin de combien de vies perdues, combien d’échecs de business, combien de mauvaises conséquences, pour réaliser que nous sommes liés aux Ténèbres ?
- Hm. Mais là tu parles en manière drastique ; il y a encore sûrement de l’espoir dans ce monde, non ?
- Cet espoir nous revient si nous essayons d’arrêter nos mauvaises actions. Bien sûr, il y a des bons hommes, mais qu’est-ce qui arrive à la plupart de notre race ?- Peut-être qu’ils ne réalisent pas que ce monde a une fin.
- Et comment va-t-on remédier la situation ?- On pourrait les changer, et écoute : je ne parle pas comme une perdue. Les changer, c’est possible, mais enfin… c’est difficile. Voyons, j’ai déjà essayé de convaincre tes ennemis, les Montparnasse, de changer leurs habitudes et d’admettre qu’ils sont responsables pour les meurtres, mais jusque là ils n’ont rien fait. Les Montparnasse sont parmi des milliers des gens méchants, et si on ne peut pas changer une petite famille comme ça, comment est-ce possible de---
- …
- Aimée… ? Ça va--- ?
- …
« Il sera bientôt anéanti. »
- Sybil…
- Hm ?
- Qu’est-ce qui arrivera à la fin du monde ?
- Bon, la fin de l’histoire et de l’humanité, comme nous le savons.
- Et cela veut dire que nous allons tous périr ?
- Non, seuls ceux qui n’ont pas vécu pour aider les autres gens, mais les détruire… Hé, mais qu’est-ce qui t’arrive, Aimée ? Tu me poses des questions comme une enfant !
- Bon, c’est parce que maintenant, je crains la mort. Toi, tu sais que j’ai perdu mon entière famille. Je ne veux pas mourir. Je survis avec toi. Et là, quand tu mentionnes la famille Montparnasse et la fin du monde……
- Ne parlons plus de la famille Montparnasse. Mais sois préparée, tu devras bientôt les affronter. La fin du monde, c’est quelque chose qu’on ne peut pas éviter. Si quelque chose commence, il doit terminer. Si quelqu’un naît, il devra mourir. Si quelqu’un a vécu pour servir le mal, il devra être puni, et s’il a servi le bien, il sera récompensé. Simple. Et nous savons tous qu’il y a des valeurs absolues dans la vie.
- Qu’est-ce que c’est, les valeurs absolues ?
- Ça veut dire les principes communes du bien : obéir ses parents/les supérieurs, aider les autres, ne pas tuer, ne pas voler, rester pieux, respecter les autres, dire la vérité et ne pas le cacher---
- OK, OK, je viens de comprendre. Dis-moi alors, Sybil – nous savons qu’il y a des valeurs absolues. Mais pourquoi je remarque qu’il y a quelques uns qui font totalement le contraire – ils servent le mal – et ils vivent sans souffrances ? Et les héros doivent souffrir ?
« Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien. »
- Crois-moi, Aimée : les méchants doivent arriver au bout du rouleau un jour. Et la longueur du rouleau n’est pas définie. Certains ont largement de temps pour changer et améliorer leurs actions. D’autres, ils sont punis instantanément. Tu remarques pas ?
- Oh… Eh oui. Mais ça veut dire qu’il y a tellement à apprendre, s’ils veulent améliorer leurs actions !
- Personne n’est pas né bon ou méchant. On le devient avec le temps, et on choisit nos valeurs. Certains font un mauvais choix. On nous apprend les mêmes valeurs absolues ; c’est à nous de l’accepter. Bon, pour ceux qui sont devenus méchants, il y a tellement à apprendre.
- Et s’ils ne veulent pas changer, ça veut dire qu’ils ne comprennent rien.
- Exactement. Tu piges très vite ! Les méchants se disent « éduqués » mais s’ils ne peuvent pas connaître la différence entre le bien et le mal, ou s’ils le connaissent quand même et ils continuent leurs mauvaises actions, je dois dire qu’ils ne sont pas du tout éduqués, mais sauvages !
- Dis, est-ce que tu vis pour être récompensée ?
- Si ce que tu veux dire, c’est « récompensée à la fin du monde », oui, bien sûr. T’as vécu avec moi depuis tes six ans. Il y a très peu de personnes qui nous ont donnés des récompenses pour nos actions. Les autres, ils ont une tendance d’oublier ce que nous faisons. Mais t’inquiète pas. Nous n’avons pas besoin de leurs « récompenses ». Prépare-toi ! Le jour arrivera. On doit commencer maintenant.
- Ouah. Tu vois dans le futur quoi ?
- Oui, et je crois que bientôt, je vais devoir écrire une lamentation. Et elle risque d’être sacrément longue…
« Un effort inutile. Quelqu’un qui ne sait rien ne peut rien comprendre. »
- Et maintenant ?
- Contente-toi de rester patiente. Continue d’être ce qui tu es.
- Est-ce que tu penses que je suis---
- Aimée, tu es gentille. Et malgré le fait que tu es impulsive, tu as du sens. Tes amis y croient. Moi, j’y crois. Et parfois, je veux bien être comme toi.
- Sybil, tu l’es déjà. On ne peut pas sauver la peau de tous les gens, mais on peut se sauver.
- Quoi ? Tu vas encore perdre de l’espoir ?
- Là, toi, tu parles en manière drastique. Et je pensais il y a quelques moments que je l’étais ! Tout n’est pas perdu parce qu’il y a nous. Mais toi, moi et les autres, nous trouvons des méchants chaque jour, et souvent, ils sont inchangeables. Tu viens de me dire qu’ils ont un choix. Ils ont déjà fait leur choix. Bon, quelqu’un qui ne sait rien ne peut rien comprendre. On le laissera comme ça, et on va vivre pour la fin. On ne sait pas s’il est très proche ou très loin, mais on va gagner cette course. La loi du plus fort, très chère !
Voici un autre épisode de l’histoire de notre héroïne, Aimée Duchemin. Cette fois, Aimée devient inspiré par ce que dit un personnage dans le jeu Kingdom Hearts, qui s'appelle Xehanort. Elle et sa meilleure amie parlent de la fin de l’histoire du monde. J’ai écrit cet épisode en rappelant les moments où j’ai été avec des amies proches, et nous avons parlé des choses que nous ne pouvions pas comprendre. Et comme le dernier article, je n’ai pas pu le mettre en essai. Ici je vais introduire quelques autres personnages originaux :
Sybil Françaix – 19 ans. Son véritable nom est Sybil Françaix, mais il y a quelques années, elle a dû poser en tant qu'un garçon pour protéger son identité. À cause de sa guise, tout le monde l’appelle Étienne ; mais pour Aimée Duchemin, sa meilleure amie s’appelle toujours Sybil Françaix.
Derrière sa physique, sa voix base et ses cheveux courts, il y a une fille avec un cœur d’or. Elle est raisonnable et moins impulsive que sa copine Aimée (mais évidemment, n’importe qui est moins impulsif qu’Aimée !).
La famille Montparnasse – On ne sait presque rien des Montparnasse, sauf qu’ils sont les pires ennemis des Duchemin. D’après Aimée, ils sont responsables pour le massacre chez elle, où sa famille a été tuée.
Bon, voici le produit de mes pensées (et désolée si Aimée et Sybil doivent tourner autour du pot pour expliquer certaines choses) :
« Ce monde a été connecté. Relié aux Ténèbres. »
- Ce qu’il vient de dire, ça me donne une chair de poule !- Je sais. Bon, dans quelques moments je dois me battre contre Xehanort… Non. C’est Sora qui doit se battre.
- Si vite ? T’es déjà arrivée à la fin du jeu ?- Ouais. T’avais pas remarqué ?- Non, je pensais que t’étais encore à l’Ile du Destin, comme l’autrefois. Et puis t’as passé largement de temps à t’y entraîner !- La fin du monde et l’Ile du Destin sont semblables, en tout cas. Dis, Sybil, tu remarques pas que Xehanort a un peu de sens commun ?
- Hein ? Comment ? Cet espèce dégénéré avec des armes aussi déglinguées que ce que mon grand-père m’a données ?
- JE NE PARLE PAS de son alliance avec les Ténèbres, je parle plutôt de ses mots. Ses phrases. « Ce monde a été connecté, » blablabla…
- Ha… Bonjour la philosophie ! T’as quelque chose à partager avec moi, c’est ça ?
- Oui, évidemment.
- Si tu parles de ses phrases, bah oui, il a un peu de sens commun. S’il parle de l’humanité en général, on doit l’applaudir. Mais là il parle de Sora !
- Parlons pas de Sora ; nous savons déjà que ce monde est relié aux Ténèbres.
- D’où vient notre liaison avec les Ténèbres, même si ce n’est pas évident ?- De nos péchés, sûrement. Dans ce monde, grâce à nos actions, les définitions de « bien » et « mal » sont déformées ; nous ne savons pas ce que nous devons faire, et très souvent, nous sommes influencés par le monde. Il y a des gens qui travaillent avec une seule intention : être célèbre. Il y a des gens qui déclarent des guerres pour unir le peuple, sachant que les guerres peuvent nous désunir ! Il y a ceux qui tuent au nom de leur famille, de leur communauté, de leur religion. Et il y a aussi ceux qui cachent des mauvaises intentions derrière leurs bonnes actions. ‘Fait, nous avons besoin de combien de vies perdues, combien d’échecs de business, combien de mauvaises conséquences, pour réaliser que nous sommes liés aux Ténèbres ?
- Hm. Mais là tu parles en manière drastique ; il y a encore sûrement de l’espoir dans ce monde, non ?
- Cet espoir nous revient si nous essayons d’arrêter nos mauvaises actions. Bien sûr, il y a des bons hommes, mais qu’est-ce qui arrive à la plupart de notre race ?- Peut-être qu’ils ne réalisent pas que ce monde a une fin.
- Et comment va-t-on remédier la situation ?- On pourrait les changer, et écoute : je ne parle pas comme une perdue. Les changer, c’est possible, mais enfin… c’est difficile. Voyons, j’ai déjà essayé de convaincre tes ennemis, les Montparnasse, de changer leurs habitudes et d’admettre qu’ils sont responsables pour les meurtres, mais jusque là ils n’ont rien fait. Les Montparnasse sont parmi des milliers des gens méchants, et si on ne peut pas changer une petite famille comme ça, comment est-ce possible de---
- …
- Aimée… ? Ça va--- ?
- …
« Il sera bientôt anéanti. »
- Sybil…
- Hm ?
- Qu’est-ce qui arrivera à la fin du monde ?
- Bon, la fin de l’histoire et de l’humanité, comme nous le savons.
- Et cela veut dire que nous allons tous périr ?
- Non, seuls ceux qui n’ont pas vécu pour aider les autres gens, mais les détruire… Hé, mais qu’est-ce qui t’arrive, Aimée ? Tu me poses des questions comme une enfant !
- Bon, c’est parce que maintenant, je crains la mort. Toi, tu sais que j’ai perdu mon entière famille. Je ne veux pas mourir. Je survis avec toi. Et là, quand tu mentionnes la famille Montparnasse et la fin du monde……
- Ne parlons plus de la famille Montparnasse. Mais sois préparée, tu devras bientôt les affronter. La fin du monde, c’est quelque chose qu’on ne peut pas éviter. Si quelque chose commence, il doit terminer. Si quelqu’un naît, il devra mourir. Si quelqu’un a vécu pour servir le mal, il devra être puni, et s’il a servi le bien, il sera récompensé. Simple. Et nous savons tous qu’il y a des valeurs absolues dans la vie.
- Qu’est-ce que c’est, les valeurs absolues ?
- Ça veut dire les principes communes du bien : obéir ses parents/les supérieurs, aider les autres, ne pas tuer, ne pas voler, rester pieux, respecter les autres, dire la vérité et ne pas le cacher---
- OK, OK, je viens de comprendre. Dis-moi alors, Sybil – nous savons qu’il y a des valeurs absolues. Mais pourquoi je remarque qu’il y a quelques uns qui font totalement le contraire – ils servent le mal – et ils vivent sans souffrances ? Et les héros doivent souffrir ?
« Il y a tellement à apprendre. Et toi, tu ne comprends rien. »
- Crois-moi, Aimée : les méchants doivent arriver au bout du rouleau un jour. Et la longueur du rouleau n’est pas définie. Certains ont largement de temps pour changer et améliorer leurs actions. D’autres, ils sont punis instantanément. Tu remarques pas ?
- Oh… Eh oui. Mais ça veut dire qu’il y a tellement à apprendre, s’ils veulent améliorer leurs actions !
- Personne n’est pas né bon ou méchant. On le devient avec le temps, et on choisit nos valeurs. Certains font un mauvais choix. On nous apprend les mêmes valeurs absolues ; c’est à nous de l’accepter. Bon, pour ceux qui sont devenus méchants, il y a tellement à apprendre.
- Et s’ils ne veulent pas changer, ça veut dire qu’ils ne comprennent rien.
- Exactement. Tu piges très vite ! Les méchants se disent « éduqués » mais s’ils ne peuvent pas connaître la différence entre le bien et le mal, ou s’ils le connaissent quand même et ils continuent leurs mauvaises actions, je dois dire qu’ils ne sont pas du tout éduqués, mais sauvages !
- Dis, est-ce que tu vis pour être récompensée ?
- Si ce que tu veux dire, c’est « récompensée à la fin du monde », oui, bien sûr. T’as vécu avec moi depuis tes six ans. Il y a très peu de personnes qui nous ont donnés des récompenses pour nos actions. Les autres, ils ont une tendance d’oublier ce que nous faisons. Mais t’inquiète pas. Nous n’avons pas besoin de leurs « récompenses ». Prépare-toi ! Le jour arrivera. On doit commencer maintenant.
- Ouah. Tu vois dans le futur quoi ?
- Oui, et je crois que bientôt, je vais devoir écrire une lamentation. Et elle risque d’être sacrément longue…
« Un effort inutile. Quelqu’un qui ne sait rien ne peut rien comprendre. »
- Et maintenant ?
- Contente-toi de rester patiente. Continue d’être ce qui tu es.
- Est-ce que tu penses que je suis---
- Aimée, tu es gentille. Et malgré le fait que tu es impulsive, tu as du sens. Tes amis y croient. Moi, j’y crois. Et parfois, je veux bien être comme toi.
- Sybil, tu l’es déjà. On ne peut pas sauver la peau de tous les gens, mais on peut se sauver.
- Quoi ? Tu vas encore perdre de l’espoir ?
- Là, toi, tu parles en manière drastique. Et je pensais il y a quelques moments que je l’étais ! Tout n’est pas perdu parce qu’il y a nous. Mais toi, moi et les autres, nous trouvons des méchants chaque jour, et souvent, ils sont inchangeables. Tu viens de me dire qu’ils ont un choix. Ils ont déjà fait leur choix. Bon, quelqu’un qui ne sait rien ne peut rien comprendre. On le laissera comme ça, et on va vivre pour la fin. On ne sait pas s’il est très proche ou très loin, mais on va gagner cette course. La loi du plus fort, très chère !
(manque d'inspiration. point.)
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