ENFIN !

Les épreuves les plus difficiles sont enfin terminées, et j’attends mon épreuve du contrat jeudi, et puis JE SERAI LIIIIIIIBRE !


Mais je dois vous parler de ce qui est arrivé lors de l’épreuve de ce matin – le droit criminel.


Nous étions en train de lire les questions (nous avions 15 minutes pour les lire). Généralement, dans une épreuve de droit, il y a huit questions ; il faut répondre à quatre questions. Nous avons découvert qu’il n’y avait que SEPT questions, et là, nous avons commencé à nous inquiéter. Peu à peu, nous avons créé une scène !


De mon coin je hurlais,
- Pourquoi nous faire perdre notre temps ? Vous réalisez, enfin, que nous avons trois heures pour répondre à quatre questions, et ce n’est pas juste de nous donner sept questions quand il nous en faut huit ?
- Ça, c’est entre votre prof et vous. Je n’y peux rien, répondait la surveillante.
- Le prof nous a précisé qu’il y aurait HUIT questions, et non pas SEPT !


Elle sortait de la classe, et peu après, d’autres surveillants nous passaient des feuilles avec notre huitième question. Cependant, quelques dix minutes après…


- Vous êtes interdits de répondre à la huitième question, vu qu’on ne l’a reçu qu’au milieu de l’épreuve.


J’étais vraiment énervée. Tout le monde arrêtait d’écrire pour voir ce qui arrivait. À ce moment-là j’ai eu envie de lui montrer de quel bois je me chauffe.


- Écoutez, madame, peut-être vous ne serez pas satisfaite par ma hauteur de voix, mais si vous ne voudriez pas que nous répondions à la huitième question, PAS LA PEINE DE NOUS LA DONNER !


Et quand j’ai fini, j’ai écouté des oui de toute la classe.


On a payé pour les lectures, les tutos, les livres, et surtout, les épreuves. Si le prof a déjà précisé qu’il y aurait huit questions dans l’examen, et que ce serait pareil pour tous les autres sujets, ce qu’il faut fare, c’est nous donner huit questions ! J’exagérerai peut-être si je dis que nous étudions jour et nuit (moi, j’ai vraiment pas envie de toucher aux livres de texte), mais nous avons sûrement préparé pour l’examen. Donc, si les surveillants nous disent qu’ils ne sont pas responsables, surtout lors de l’épreuve, il faut que je leur dise qu’ils ont tort !